Les mesures d’urgence, les habitudes des entreprises ou encore des consommateurs rendent le scénario du maintien de l’existant plus plausible que celui de l’avènement d’un « monde d’après ».
Pour faire face aux problèmes psychiques qui affectent leur bien-être et leur efficacité, les travailleurs mettent en place des stratégies d’évitement ou de compensation.
Qu’il s’agisse de se rendre au travail, de se déplacer ou d’emmener ses enfants à l’école, décider a rarement été aussi difficile. Mais de nouveaux processus d’aide à la délibération apparaissent.
L’engagement des managers, la transversalité des projets, la porosité RH/RSE et la coconstruction des projets constituent les meilleures pratiques identifiées par la recherche.
Le prix « Nobel » d’économie 2009, décédé en mai dernier, a notamment proposé des outils d’arbitrage entre la sous-traitance des activités (le marché) et leur réalisation en interne (l’entreprise).
Pendant le confinement, de nombreux annonceurs ont déserté les écrans malgré des audiences records. Leur retour à partir du 11 mai révèle des stratégies qui pourraient mettre en péril leur réputation.
L’ajustement des ratios comme l’EBIDTA, nécessite une information financière saine et transparente, en précisant aux banquiers et investisseurs les effets dus aux variations économiques erratiques.
D’après les résultats d’une enquête menée par l’ESSEC, les Français se déclarent en grande majorité opposés au télétravail à temps plein et souhaiteraient retrouver un espace de travail attitré.
Selon une étude dont nous révélons les résultats, plus de quatre Français sur dix estiment leur activité essentielle en temps d’épidémie. Trois registres de justification émergent.
La crise remet sur le devant de la scène l’importance de la responsabilité sociale des entreprises, reflet des attentes voire des exigences, et des motivations de leurs parties prenantes.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)