Services d’immatriculation de sociétés-écrans, messageries cryptées et modes de régulation des infrastructures portuaires sont autant d’exemples de supports fournis par l’économie légale aux trafics.
Favoriser l’implantation des entreprises dans les banlieues comme le suggérait le rapport Borloo doit permettre une intégration politique et sociale des citoyens.
La transition écologique impose un retour des questions de l’impact des activités économiques sur les territoires d’implantations. Une rupture impérative dans les stratégies d’entreprises.
La succession des réformes et des « relances » de l’enseignement professionnel depuis 40 ans rappelle la difficulté de concilier finalités éducatives, sociales et économiques.
On considère souvent que devenir addict au travail est le fait d’une dérive individuelle ; ce pourrait bien plutôt être la conséquence des évolutions de l’emploi et des modes de gestion.
Les progrès récents dans la manière dont les organisations mesurent les performances en matière de durabilité pourraient conduire à une approche véritablement authentique de la durabilité.
L’intérêt des universités pour leur environnement économique est apparu au XIᵉ siècle avant un recentrage sur les missions de recherche et d’enseignement à partir de la Renaissance.
Pour avoir un modèle circulaire, les entreprises doivent convaincre les consommateurs de rapporter leur produit après usage pour les recycler, ce qui ne s’avère pas toujours assez rentable.
Certes, rechercher le bien, la perfection, l’aventure ou de vivre de sa passion donne aux entrepreneurs un sens à leur organisation. Il ne faudrait pas néanmoins basculer dans la démesure.
Une étude montre que la valeur d’une l’action augmente d’environ 4,75 % en moyenne après une prise de participation minoritaire qui vise à influencer la gouvernance de l’entreprise.
L’irruption de ChatGPT remet notamment en question les compétences et les caractéristiques inhérentes à certains métiers aujourd’hui appelés à se renouveler pour perdurer.
Une étude montre que la probabilité qu’un licenciement se produise est environ 5 % plus faible dans les PME que dans les grandes entreprises, un chiffre qui reste assez stable depuis plus de 10 ans.
Les sociétés détenues et gérées par des familles émettent en moyenne moins de CO₂ que les autres entreprises, ce qu’elles ne mettent pourtant que peu en avant dans leur communication.
Dans les situations sensibles, les managers doivent généralement composer entre les consignes de leur hiérarchie, les habitudes dans leur organisation et les réactions attendues de leurs équipes.
Les politiques qataries portent leurs fruits : la dynamique entrepreneuriale semble bien enclenchée dans le pays mais uniquement auprès de populations spécifiques.
Au-delà des coûts et des services proposés, les entreprises apparaissent de plus en plus sensibles au potentiel d’innovation et à la manière dont leurs partenaires gèrent les risques.
Non seulement elles ont pu bénéficier d’un taux plus avantageux, mais aussi, elles ont su mettre en place des stratégies de planification pour décaler des déclarations de revenus.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)