Les distributeurs cherchent à répondre aux nouvelles habitudes de consommation en s’appuyant sur les marques régionales de terroir, une stratégie « omnicanale » et la donnée client.
Les caddies devant l’entrée principale, l’une des actions des distributeurs pour renforcer leur image prix.
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Face aux effets de l’inflation sur le consommateur, les enseignes s’efforcent de limiter le gaspillage, s’ouvrent au marché de l’occasion… et mettent en avant leurs propres marques.
Une partie des consommateurs repensent tout leur mode d’approvisionnement.
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Les évolutions règlementaires visant à réduire les emballages imposent aux enseignes des nouveaux défis en termes d'aménagement des points de vente ou encore de communication sur les produits.
Renoncer aux images de vignobles, de châteaux et de coteaux permet-il de mieux vendre une bouteille ?
Remplacer les traditionnelles images de châteaux par une œuvre d’art ne garantit pas le succès pour tous les types de bouteilles auprès de tous les clients.
Depuis 2014, une dizaine de centrales unissant des enseignes concurrentes ont été mises en place.
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Plongeons-nous dans les grandes mutations du salariat dit « stable » en regardant l’évolution des formes de rémunération. Progrès ou régression pour les salariés ?
Pour les produits d’entrée de gamme, les communications mettant en avant des prix moins chers que chez les concurrents risquent de dégrader l’image qualité.
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L’appartenance régionale du consommateur influence positivement ses intentions d’achat de marques ancrées dans un territoire, mais est-ce le seul facteur à prendre en compte ?
Pour les produits comme les fruits et légumes, les consommateurs restent attachés à la possibilité de les voir, les toucher, les sentir ou même les goûter avant de les choisir.
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Les recherches récentes indiquent qu’en virtuel, les consommateurs se montrent plus sensibles à des offres de fruits et légumes « modérément » difformes, qui véhiculent une image plus qualitative.
Des manifestants envahissent un supermarché Carrefour à Sao Paulo, à l’occasion de la Journée de la conscience noire, le 20 novembre 2020.
Nelson Almeida / AFP
Cette distinction établie par le gouvernement occulte la notion subjective de valeur, ce qui suscite des incompréhensions.
Des militants manifestent le 17 juin 2020 devant le ministre français de l'économie et des finances contre la société américaine de commerce électronique Amazon.
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La fermeture des commerces « non essentiels » met le feu aux poudres et ravive la polémique autour d’Amazon. Pourquoi le géant de l’e-commerce est-il dans le viseur, pour quels résultats ?
Certaines grandes surfaces, comme un magasin Auchan de Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis, ont fermé l’accès aux produits « non essentiels », avant même l’annonce du gouvernement.
Bertrand Guay / AFP
Ce besoin déclenche chez d’autres consommateurs une réticence à l’achat. C’est ce qu’on appelle l’inférence de contamination.
Les entreprises dotées de compétences dans la logistique, le sourcing et le marketing digital ont pu tirer leur épingle du jeu pendant le confinement.
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Le Covid-19 a provoqué l’accélération de certaines tendances de consommation telles que la vente en ligne, poussant ainsi les entreprises à investir dans l’« omnicanalité ».
Les téléspectateurs, à défaut des annonceurs, ont répondu à l'appel lors de la diffusion de la mythique émission de téléréalité Koh-Lanta.
TF1 / ALP
Pendant le confinement, de nombreux annonceurs ont déserté les écrans malgré des audiences records. Leur retour à partir du 11 mai révèle des stratégies qui pourraient mettre en péril leur réputation.
Pendant le confinement, les consommateurs forcés de modifier leurs habitudes d'achats ont perçu une augmentation significative des prix.
Sebastien Bozon / AFP
Face à la récession, la guerre des prix entre les enseignes de distribution fait rage. Or, une stratégie de communication orientée sur la sécurité et la confiance s’avère aussi indispensable.
L'annonce d'un confinement « jusqu'à nouvel ordre » en mars dernier a généré une peur de manquer et des comportements impulsifs chez les consommateurs.
AFP
Lorsqu’il s’agit de se nourrir, l’Homo œconomicus adopte des comportements bien spécifiques – ce qui explique la ruée des consommateurs vers les supermarchés plutôt que vers les banques début mars.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord