« Pas de nature, pas de futur ». Des étudiants brandissent cette pancarte devant le parlement européen de Strasbourg le 15 mars 2019.
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La précarité étudiante ne peut se définir seulement par la faiblesse des revenus, selon l’Observatoire national des conditions de vie étudiante. Explications alors que la jeunesse se mobilise.
La collaboration entre sciences sociales et sciences dures est indispensable pour parler de développement durable.
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Visant à développer des constituants d’objets technologiques plus durables le projet grenoblois NEED for IoT permet de réfléchir aux conditions nécessaires à un enseignement des enjeux climatiques.
Mohammed Hanzaz, Institut National d’Aménagement et d’Urbanisme de Rabat and Abdelfattah Rouchdi, Institut National d’Aménagement et d’Urbanisme de Rabat
Par la nature de ses services, ses objectifs, sa mission et son influence dans la société, l’université est censée jouer un rôle pionnier et impulser les changements pour une ville durable.
30 % des graduate programmes intègrent une mission internationale.
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Conçus pour fidéliser les dirigeants de demain, ces programmes existent aujourd’hui dans tous les secteurs et sont bien identifiés par les jeunes diplômés. Zoom sur le dernier panorama en date.
Pour les doctorants marocains, les difficultés commencent dès la recherche d'une structure d'accueil.
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En vogue pour former à la créativité, le design thinking est une version simplifiée d’une petite partie du design. Et si on explorait d’autres champs tels le design projectif ou le design de sens ?
Les formes de tricheries évoluent dans le temps et l'espace, mais le phénomène concerne tous les établissements du supérieur.
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La tricherie touche les universités d’élite comme les établissements moins bien classés, elle est pratiquée par des étudiants de tous niveaux. Comment expliquer cette tendance ? Comment l’endiguer ?
On compte plus de 100 000 chercheurs et 30 000 doctorants en Île-de-France.
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Après les sciences participatives, qui mobilisent des citoyens dans des projets de recherche, l’« éducation ouverte » lance de nouvelles passerelles entre enseignement supérieur et société.
Chaque individu dispose de compétences créatives plus ou moins développées mais il n'existe pas d'individus non créatifs.
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Plus on s’entraîne à rechercher des idées nouvelles, plus on génère des propositions originales. C’est dans cet esprit qu’un groupe de chercheurs a conçu le jeu de cartes « Le bus à l’envers ».
L’urgence climatique exige des institutions scientifiques une mobilisation totale. Mais leurs difficultés d’adaptation et le cloisonnement persistant entre disciplines freinent leur action.
Il est temps de pratiquer une certaine dissidence au sein même de l’université.
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On ne peut pas produire du neuf sans laisser du temps aux idées pour se régénérer. Cette culpabilité de ne jamais travailler assez est en train d’envahir toutes les sphères du travail immatériel.
« Fenêtres Ouvertes sur la Gestion » : les émissions de la lettre du 13 juillet 2019.
Capture d'écran.
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « la comédie de la notation ».
Campus de l'Université de Stanford (États-Unis), sur la deuxième marche du podium du QS 2020.
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Le classement de Shanghai 2019 vient de paraître. Que mesure vraiment ce type de palmarès : qualité de la recherche, enseignement ou notoriété ? Et face à leur influence, quelle stratégie développer ?
Le groupe des universités est le dernier-né de ces « groupes d’engagement » qui représentent la société civile au sommet du G7.
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Une quarantaine d’établissements du supérieur participent les 9 et 10 juillet 2019 aux travaux du G7. Une première qui marque l’entrée de l’université sur la scène politique internationale.
En 32 ans, Erasmus a permis à 4,4 millions d'étudiants d'effectuer une mobilité intra-européenne.
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Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si, depuis la création d’Erasmus, le nombre de candidats n’a cessé d’augmenter, l’Union européenne insiste sur l’ouverture sociale nécessaire du programme. Qu’en est-il concrètement ?
Aux États-Unis, il n’est en effet pas rare de voir des anciens, une fois qu’ils ont fait fortune, verser de généreuses oboles à l’établissement dont ils sont diplômés.
Ruben Martinez Barricarte
Prometteur sur le papier, le modèle de la fondation d’université s’avère plutôt décevant. Mais peut-être n’était-il tout simplement pas adapté à un pays comme la France ?
Un correspondant de l'ENA en Allemagne n'existe pas. La plupart des membres Bundestag passent par des études en droit.
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Outre-Rhin, on ne trouve pas de « voie royale », mais un passage à l’université, des recrutements plus spécialisés et une élite connectée au sein de réseaux partisans plutôt que par leurs formations.
Les étudiants apprécient de pouvoir annoter les livres en format papier.
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Professeur en Information-Communication à l’Institut Français de presse (Université Paris 2 Panthéon-Assas), Auteurs fondateurs The Conversation France