Une nouvelle étude d’envergure révèle que les AUT sont impliqués dans de nombreux problèmes de santé, mais ignorons toujours quels aliments sont les principaux coupables.
Viandard ou végétarien ? Le débat avait déjà lieu dans l’Antiquité. Les arguments des tenants d’un régime sans viande étaient, pour certains, très différents de ceux avancés aujourd’hui.
Les fibres ne sont pas seulement associées à la santé du côlon ; elles influencent aussi la santé globale et la santé du cerveau par l’axe intestin-cerveau. Mais toutes les fibres ne se valent pas.
Les aliments « végan » sont perçus comme n’ayant pas d’ingrédients d’origine animale par la plupart de consommateurs, mais peuvent en fait contenir des protéines de lait.
On prête de nombreux bienfaits à l’huile de poisson, qu’il s’agisse de renforcer notre santé cardiaque, de protéger notre cerveau ou de soulager l’arthrite. Voici ce qu’en dit la science.
L’insécurité alimentaire est un problème particulièrement ressenti par les Inuits du nord du Canada. La solution pourrait passer par des systèmes alimentaires culturellement adaptés.
Les publicités pour la perte de gras ciblée, en particulier pour la graisse abdominale, sont omniprésentes sur les médias sociaux. Mais existe-t-il des preuves à l’appui de cette « perte de graisse localisée » ?
Si vous préférez le café décaféiné, voici une explication scientifique de sa fabrication, des raisons pour lesquelles il coûte plus cher et de la quantité de caféine qui se retrouve dans votre tasse.
La plupart d’entre nous savons vaguement qu’il ne faut pas manger trop de viande rouge, mais pourquoi en est-il ainsi ? Et le type de viande fait-il vraiment une différence ?
Les campagnes en faveur d’une alimentation saine mettent en avant des produits bons pour la santé. Or, il existe un moyen inattendu plus efficace pour détourner de la « junk food ».
En analysant de petits échantillons de graisse d’orque, les scientifiques peuvent découvrir leur régime alimentaire. Cela a des répercussions sur notre compréhension de l’évolution des écosystèmes.
La pratique du jeûne intermittent nuit-elle aux performances sportives ou, au contraire, les stimule-t-elles ? Les données scientifiques sont pour l’instant contradictoires.
La viande a été un marqueur des divisions entre les classes et le genre. Elle a déclenché des révolutions scientifiques et a été au centre de guerres et de controverses.
Les partisans du jeûne intermittent affirment que l’horloge peut vous aider à gagner la bataille des bourrelets. Mais la science qui se cache derrière est un peu plus compliquée.
Irène Margaritis, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
L’été arrive, avec ses exigences de physique avantageux qui poussent certains à commencer des régimes amaigrissants. Mais mal compris et mal menés, ils entraînent souvent une reprise de poids ensuite.
Médecin nutritionniste, Directrice de Recherche INRAe, Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm, Université de Paris, Université Sorbonne Paris Nord, Cnam, Inrae
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)